Bloodlust | Vampire : La Mascarade
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 La Société des Vampires

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Caïn
Maître du Jeu
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Caïn


Messages : 630
Date d'inscription : 01/07/2009
Secte : Je suis bien au-dessus de tout cela...
Clan : Tous sont nés de mon sang...
Génération : Je suis à l'origine même de ce terme, infant...

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MessageSujet: La Société des Vampires   La Société des Vampires EmptyJeu 5 Aoû - 18:03

LA SOCIETE DES VAMPIRES

Les vampires sont avant tout des chasseurs solitaires. Un vampire peut passer des années, des décennies même, sans rencontrer un de ses semblables, préférant chasser seul ou vivre au milieu d'un groupe choisi de mortels. Toutefois, la plupart des vampires choisissent ou sont contraints de côtoyer leurs semblables à un moment ou un autre. Les manoeuvres du Jyhad n'épargnent pas même le vampire le plus isolé.
La société des Damnés est structurée comme n'importe quelle institution mortelle, si ce n'est d'avantage. La classe dirigeante des vampires d'une ville se partage de nombreux titres, charges et fonctions, qui procurent tous un pouvoir important mais également un risque proportionnel : ceux qui veulent saper les fondations du pouvoir commencent par s'attaquer à ceux qui portent des titres.
La présentation qui suit s'applique principalement à la secte nommée Camarilla. En qualité de gardienne de la Mascarade et protectrice des Traditions, la Camarilla pose les standards d'une société de vampires. Un vampire peut adhérer à ce modèle, ou en prendre ouvertement le contre-pied, mais il ne peut pas l'ignorer. Ceux qui sont depuis trop longtemps en dehors de l'influence de la Camarilla ont des traditions et des comportements sociaux très différents, mais nous en reparlerons plus loin.

LE PRINCE

Depuis toujours, les vampires respectent la loi de Darwin : seuls les forts survivent. Ceux qui sont assez forts pour imposer leur pouvoir et le conserver règnent. Les vampires se considèrent comme des nobles ou des seigneurs de guerre, contrôlant autant de territoire qu'ils le peuvent, vivant en plus ou moins bonne intelligence avec leurs voisins mortels ou caïnites, et cherchant toujours à étendre leur influence ou agrandir leur troupeau. Dans les villes du vieux continent, ce comportement a provoqué maints désastres, les vampires se battant pour le contrôle du commerce et la nourriture.
Autrefois, le vampire le plus puissant de chaque ville en revendiquait le domaine et faisait tout pour en conserver le contrôle. Avec le temps, les revendications se sont transformées en traditions, et certaines responsabilités sont assumées de façon tacite ou prises de force par ceux qui dirigent. La Camarilla organise et renforce ces idéaux depuis la Renaissance. En 1743, un anarch londonien publia un pamphlet raillant la société vieillissante des vampires, trahissant de manière spectaculaire la Mascarade. La Camarilla réagit très rapidement, tout d'abord en maquillant l'incident ("Une oeuvre de fiction remarquable !") puis en détruisant l'anarch et en reconnaissant officiellement la charge de prince. Cette charge existe et elle est respectée aujourd'hui encore.
Le prince est, pour parler simplement, le vampire qui a suffisamment de pouvoir pour revendiquer une ville comme son domaine, y faire régner la loi et y assurer la paix. Une telle fonction est en général tenue par un ancien, car qui d'autre a la puissance et le charisme nécessaires pour contrôler une métropole ? Dans certains petites villes, des vampires plus jeunes peuvent également se proclamer prince, mais leur revendication est rarement respectée par les coteries des grandes villes. parfois, des circonstances particulières ont placé un jeune vampire à la tête d'une grande ville, mais bien peu nombreux sont ceux qui ont réussi à se maintenir lors du retour des anciens.
Le titre de "prince" n'est que cela : un titre donné pour désigner un rôle, qu'il soit tenu par un homme ou une femme. Il n'y a pas de dynastie de vampires tenant une ville depuis des siècles, ni hérédité des charges. Parfois, le prince porte un titre différent, plus en rapport avec le pays, comme baron, sultan, conte, ou de façon plus informelle, patron ou boss. Les lettrés vampires pensent que le terme de prince a des origines remontant au Moyen-Âge, faisant référence au seigneur du manoir, et qu'il a été définitivement adopté après la publication de l'ouvrage de Machiavel, Le Prince.
Un prince ne règne pas sur une ville. Son rôle est plus celui d'un arbitre ou d'un magistrat que d'un monarque. Il est le juge qui tranche les disputes entre vampires, l'autorité ultime en ce qui concerne les Traditions, et le garant de la paix. Mais avant tout, son domaine est le respect de la préservation de la Mascarade. Ce qui signifie qu'il doit régulièrement purger sa ville des éléments du Sabbat et tenir les fortes têtes et les instables. Tous les princes ne réalisent pas, ou ne se soucient pas, que leur pouvoir doit rester informel. Au contraire, certains veulent être traités comme les rois du passé, entretenant une cour, et exigeant de leurs "sujets" des démonstrations de déférence à leur passage. Une telle arrogance peut excéder la population, aussi bien les plus jeunes que les anciens.
Les vampires d'une ville ne prêtent aucun serment de vassalité ou de loyauté à leur prince. Leur obéissance dépend de leur crainte, et la plupart des princes s'assurent les moyens de renforcer cette crainte. Si l'autorité d'un prince est bafouée, ou remise en question, il peut utiliser la force pour rétablir son contrôle. Toutefois, si la force est insuffisante pour faire face, ou s'il se retrouve sans allié, son règne prend fin.
Ayant suivi le protocole imposé par les Traditions, la plupart des vampires ignorent leur prince, ou lui prêtent à peine l'oreille, juste assez pour être sûrs de ne pas rater une information qui pourrait leur être utile. De fait, les vampires ont de multiples occupations plus importantes que d'écouter leur dirigeant. Certains anciens, les Inconnus, et ceux qui n'ont rien à craindre (comme les justicars) jugent les déclarations princières arrogantes ou amusantes, des manifestations bruantes d'un blanc-bec encore impressionné par son propre pouvoir.
Mais le prince n'est pas pour autant un personnage à négliger. Il dispose d'un vaste pouvoir temportal pour atteindre et conserver sa place. Il ne gère pas seulement les affaires des vampires de la ville, mais est également impliqué dans celles des mortels. La police, les pompiers, les compagnies de BTP, les hôpitaux, la mairie, tous sont très utiles pour se débarrasser d'ennemis, ou assurer sa mainmise sur un domaine particulier. Si le prince veut se débarrasser d'une bande d'anarchs particulièrement agités, il peut faire démolir en plein jour leur refuge par une société immobilière. Une opération de chasseurs soutenue par une église locale provoque soudainement la remise en cause par la municipalité des avantages fiscaux accordés au culte. Une telle inluence doit attirer l'attention de ceux qui seraient enclins à dédaigner un prince. Il n'est pas sage de mécontenter quelqu'un qui peut condamner votre refuge par des travaux publics ou faire "accidentellement" couper votre ligne téléphonique durant une intervention sur le réseau de gaz.

DEVENIR PRINCE

Comme nous l'avons dit précédemment, il n'y a pas de dynastie de prince (bien que certains clans le souhaitent). Traditionnellement, c'est le vampire le plus ancien qui dirige la ville, bien que cela ne soit pas plus dans bien des cas. La tradition est une chose, mais n'importe quel vampire peut défier le prince actuel. Un prince ne règne librement que tant que personne ne le défie. S'il se trouve défié par un ou plusieurs prétendants, les choses se gâtent. Une lutte sans merci s'engage, et le dernier survivant règne. Le "couronnement", si on peut l'appeler ainsi, peut aller de la démonstration de force sans violence de quelques anciens à l'usurpation violente menée par une coterie assoiffée de sang. D'habite, le régime actuel est renversé brutalement et sans pitié, ce qui permet à la fois de régler la question de l'ancien prince et de faire une démonstration spectaculaire de la force du nouveau. Mais quelles que soient les manières et l'identité de ce dernier, il doit s'assurer le soutien des anciens s'il veut régner plus d'une nuit. Encore plus important, le conseil des anciens, le Primogène, doit approuver le règne d'un prince, sans quoi il sera très éphémère.
La lutte pour le principat n'est pas seulement affaire de coups de feu dans les rues désertes, ni de combat direct. Comme pour tout ce qui concerne les Enfants de Caïn, la subtilité est primordiale, et la guerre pour la couronne se déroule surtout dans l'ombre. Les vampires de la ville - les anciens, les coteries, les individus - choisissent leur camp, tandis que les rivaux recherchent des alliés et désignent des ennemis. De nombreux aspects interviennent dans le choix de tel ou tel prétendant : promesse de récompense, loyauté envers un vampire ou un clan, renvoi d'ascenseur, conviction personnelle, menaces... Mais une fois le choix fait, il est très dangereux de changer d'avis, surtout si on rejoint le camp vaincu. Toutes les institutions mortelles sous influence des vampires (banque, industrie, haute société, éducation, police, marginaux...) sont mises à contribution durant la lutte. Tout ce qui peut être fait pour obtenir un avantage peut, sera et a été utilisé. Lorsque la fumée se disperse, il ne reste en général qu'un prétendant, qui se saisit de son trophée. Un nouveau prince est rarement assez généreux pour laisser vivre ses rivaux, et même si cela était, le Primogène ne le laisserait as faire. La vengeance, en particulier d'un rival déchu, est un plaut qu'il vaut mieux ne pas servir du tout.

TENIR SA MAISON

Parfois, un groupe d'anarchs ou d'acolytes décide de destituer une fois pour toutes un prince. Un coup d'état est très dangereux si on ne s'est pas assuré de la loyauté de ses alliés. Les princes restent rarement sur leur trône avec leur seul charme, et la plupart ont de nombreux infants pour assurer leur sécurité. S'en prendre au prince signifie égallement s'en prendre au Primogène, qui a les moyens d'écraser rapidement toute insurrection potentielle au nom de la stabilité de la ville.
Un coup de force résulte souvent en un vide politique, et dans le monde des vampires, le vide a des conséquences incalculables. Une ville dans la tourmente signifie l'instabilité : les coteries se battent pour une place dans le nouveau pouvoir, les anciens combattent pour assurer leur survie, et parfois la tourmente, attire la venue indésirable du Sabbat, des loups-garous ou des chasseurs de sorcières. La menace qui en résulte pour la Mascarade peut parfois pousser certains vampires à tenter de stabiliser provisoirement la ville, mais de tels efforts sont souvent sans effets, si ce n'est un chaos encore plus grand.
La plupart des anciens, tout comme la majorité des vampires, soutiendront un prince au nom de la stabilité. La guerre n'est jamais plaisante et, surtout pour les anciens très attachés à leur survie, elle signifie la possibilité d'une Mort Finale. Mis à part le cas où le prince est devenu entièrement incontrôlable, du fait de sa démence, d'une corruption surnaturelle ou d'une tyrannie excessive, les Caïnites d'une ville peuvent s'attendre à le voir régner un bon moment.
L'abdication est une possibilité parfois utilisée. De fait, depuis peu, une épidémie d'abdications soudaines et de disparitions mystérieuses de puissants a torpillé l'antique structure du pouvoir. Si un ou plusieurs primogènes choisissent de rendre l'existence pénible au prince, quelle que soit la raison, celui-ci peut être destitué. Un vote de défiance est également possible, mais excessivement rare du fait du chaos potentiel que pourrait entraîner le départ d'un prince dans des conditions aussi amères.

LES AVANTAGES DU PRINCIPAT

Certains vampires pensent que seuls les fous ou les vaniteux recherchent la place de prince. Après tout, en tant que symbole du pouvoir caïnite de la ville, le prince est la cible toute désignée des anarchs, du Sabbat et autres ennemis. Ajoutez-y les manoeuvres et intrigues politiques incessantes de la cour, et les critiques ne sont peut-être pas infondées. Toutefois, le principat doit avoir un certain nombre d'avantages pour faire rêver même les plus faibles.

● Le droit de procréation. Seul le prince peut librement créer des infants. Les autres vampires qui souhaitent être sires doivent tout d'abord obtenir son autorisation, ou risquer la destruction pour eux-mêmes et leur infant. Le prince peut refuser ce droit à un vampire qui l'a offensé. Lui, au contraire, peut procréer selon son bon vouloir, de façon à s'assurer de nombreux suivants fidèles. La plupart des princes rechignent à autoriser leurs sujets à donner l'Etreinte. Ceci est dû en partie à leur paranoïa naturelle, mais également à des considérations de place disponible. Après tout, une ville surpeuplée est une menace pour la Mascarade.

● La protection des anciens. Le Primogène soutient généralement son prince tant que celui-ci maintient l'ordre, préserve la Mascarade et protège la ville durant les périodes troublées, comme les incursions de garous ou les attaques du Sabbat.

● Le pouvoir politique. Au sein de la Camarilla, un prince peut espérer être écouté par la plupart des anciens et jouir d'un statut plus élevé que le vampire de la rue. Dans presque toutes les réunions, il fera l'objet d'un grand respect.

● Le contrôle sur son domaine et ceux qui y pénètrent. Selon la Cinquième Tradition, le prince peut étendre son autorité sur ceux qui pénètrent dans son domaine, qui est la ville entière, voire la région. Les vampires nouvellement arrivés, qu'ils soient des voyageurs ou de futurs résidents, doivent, toujours selon cette Tradition se présenter à lui. Le prince peut punir ceux qui oublieraient de le faire.

● La nourriture. Le prince peut limiter le terrain de chasse des autres vampires pour toutes sortes de raisons, et en premier lieu la sauvegarde de la Mascarade. Cela se traduit par des interdits géographiques (par exemple tel quartier ou tel hôtel) ou de proie ("Les membres du clergé et les enfants sont interdits."). Outrepasser ces interdits est très dangereux, car le prince peut sévir avec pour charge la violation de la Mascarade.

● Le domaine contre les ennemis. Selon la Sixième Tradition, le prince peut appeler à la chasse au sang contre ceux qui l'ont trop souvent défié. Il ne peut pas détruire selon son bon vouloir (il risque de perdre le soutien des anciens s'il abuse de son pouvoir), mais s'il prouve que ennemi a violé une ou plusieurs Traditions, il a parfaitement le droit de le punier. Bien évidemment, la violation d'une Tradition est un concept très facile à adapter aux nécessités du pouvoir.

AUTRES VAMPIRES IMPORTANTS

Avec le temps, certaines fonctions se sont installées dans les villes. Certaines aident le prince à maintenir l'ordre, d'autres sont plus "honorifiques" mais se sont imposées avec le temps.

●Le Primogène. Le Primogène est l'assemblée des anciens de chaque clan d'une ville. Le plus souvent, chaque clan est représenté par son primogène, mais parfois le prince refuse à un clan donné le droit de présenter un de ses membres au conseil. En théorie, le Primogène représente les clans au sein du corps politique, mais dans les faits, il est plus souvent un "club de vieux vampires", théâtre de trahisons et flagornerie. Les primogènes (le terme désigne à la fois les membres et l'assemblée) agissent selon la volonté du prince. Dans les villes dotées d'un prince despotique, le Primogène peut être une simple chambre d'enregistrement, alors que dans d'autres villes, c'est le Primogène qui dicte ses volontés au prince.
Le prince n'est pas forcément le primogène de son clan. Bien que certains vampires estiment que la présence de deux représentants d'un même clan au sein de la structure politique est un déséquilibre inacceptable, personne n'est en position de changer cet état de fait.

● Le préfet ou shérif. La plupart des préfets (appelés "shérifs" aux Etats-Unis) sont nommés par le prince et approuvés par le Primogène. Bien que les attributions exactes puissent varier d'une ville à l'autre, la mission première d'un préfet est d'être le bras armé du prince, celui qui amène les vampires contrevenants devant le prince, maintient l'ordre dans la rue, et a en charge l'aspect "musclé de la loi. Un préfet peut choisir des assistants, avec parfois l'approbation préalable du prince.

● Les harpies. Ces vampires se targuent d'être en charge de la vie sociale de l'Elysium. Leurs armes sont les bavardages et les manoeuvres mondaines, leur richesse, le statut. Avec une seule phrase glissée dans l'oreille du prince, ils peuvent faire ou défaire la position sociale d'un vampire. Obtenir une place de harpie n'est en général pas un droit, ceux qui en ont les capacités atteignent seuls ce sommet. La plupart ne sont pas impressionnés par des démonstrations de force ou des menaces, et sont d'une finesse psychologique remarquable. Atteindre ce poste assure à un vampire de gravir rapidement l'échelle du pouvoir de la Famille.

● Les mandataires. Les primogènes prennent régulièremment des mandataires comme assistants. Pas très différents des porte-parole des gouvernements mortels, leur travail est de diriger et encourager la discussion durant les réunions de clan, et de garder leur clan informé des décisions du Primogène. Les mandataires sont désignés par les primogènes.

● Le sénéchal. C'est l'une des charges dotn se passeraient avec plaisr bien des princes, mais qui est souvent indispensable. Un prince a décrit sa position comme étant celle de devoir choisir le couteau qui sera placé sur sa gorge. Le sénéchal est le chambella, le bras droit et le conseiller du prince. A n'importe quel moment, il peut être appelé à prendre la place du prince si celui-ci quitte provisioirement la ville, abdique ou est tué. Naturellement, un prince veut avoir la décision finale pour la désignation d'un personnage aussi important, et peut devoir lutter pied à pied avec le Primogène. C'est une position dangereuse par bien des aspects : être si près du pouvoir peut donner des idées...

● Le gardien de l'Elysium. Le gardien a la charge de l'Elysium. Un Toréador qui désire y exposer ses dernières oeuvres, un Tremere qui veut y faire une conférence ou un Brujah souhaitant lancer un débat sur la politique du prince, tous doivent avoir l'accord du gardien, qui peut annuler ou approuver un événement en se basant sur la préservation de la Mascarade. Le gardien a la responsabilité de s'assurer qu'acun mortel ne pénètre dans la zone durant l'Elysium, et que les choses s'y déroulent sans accroc. la plupart des gardiens sont désignés par le prince, souvent de façon conditionnelle jusqu'à ce qu'ils aient fait leurs preuves.

● Le fléau. Les nuits devenant de plus en plus violentes, et le nombre de vampires inconnus grandissant, certains princes ont réhabilité cette ancienne charge. La mission essentielle d'un fléau est de patrouiller aux frontières du domaine, recherchant et parfois détruisant les nouveaux venus qui ont omis de se présenter. Les Parias et les novices des 13e, 14e et 15e générations ont le plus à craindre d'un fléau. Dans certains cas, même les vampires n'ayant que manqué au protocole en sont les victimes, les princes agissant souvent de façon irréfléchie face à la peur de la surpopulation et de l'espionnage. De rares fléaux sont des assassins assamites sous contrat avec le prince.
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